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Circulation : la région retrouve totalement l’un de ses points les plus névralgiques
©Pierre-Olivier Poulin - Le Citoyen Val d'Or - Amos
Un total de 22 semaines et 12 M$ a été nécessaire pour doubler le carrefour giratoire reliant Amos et Val-d’Or.
Considéré comme l’un des points de circulation les plus chauds de la région, le rond-point reliant les routes 117 et 111 a terminé sa transformation pour devenir un carrefour double. Un projet d’envergure attendu depuis des années et évalué à 12 M$.
Échelonné sur 22 semaines, le chantier a dû passer par plusieurs phases avant d’ajouter un anneau supplémentaire et une voie de plus dans chaque voie. Un ponceau de plus grande taille a été installé sur la section sud, ce qui a mené à la fermeture de l’approche du chemin Sullivan pendant la grande majorité des travaux. La structure de la route 117 a dû être refaite et la piste cyclable qui longeait le tout a dû être déplacée.
«L'hiver dernier, nous avions désigné la réfection du carrefour giratoire comme l'une des interventions prioritaires pour sécuriser la 117 entre Val-d'Or et Rouyn-Noranda. La nouvelle configuration améliorera la fluidité de la circulation et la qualité de vie de nos citoyens dans le secteur. La fin de ce grand chantier, c'est une autre promesse réalisée par notre gouvernement, pour la région, et pour la sécurité des usagers de la route», a commenté la ministre des Transports, Geneviève Guilbault.
Un peu plus de 20 000 véhicules circulent quotidiennement autour de ce carrefour. L’augmentation du trafic automobile, notamment vers Sullivan et Amos, était devenue trop importante pour l’infrastructure originale. 8,5% de ces 20 000 passages proviennent de camions lourds.
«L'ouverture des nouvelles voies de ce carrefour giratoire marque une avancée importante pour la région de l'Abitibi-Témiscamingue. Ce projet ne sert pas uniquement à améliorer la fluidité de la circulation, il renforce également la sécurité et la mobilité de milliers d'usagers chaque jour. Je suis fier de voir cet engagement se concrétiser, car il contribue directement au développement économique de la région et à la qualité de vie de ses citoyennes et citoyens», souligne le ministre responsable de l’Abitibi-Témiscamingue, Jean Boulet.
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